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 L'Ombre, Maîtresse du Cercle des Ténèbres

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MessageSujet: L'Ombre, Maîtresse du Cercle des Ténèbres   L'Ombre, Maîtresse du Cercle des Ténèbres Icon_minitimeDim 21 Avr - 17:53



Sayuri Helsing

L'Ombre, Maîtresse du Cercle des Ténèbres 612236imagefichedeprsentation

Informations

Nom Complet :: Sayuri Helsing
Âge :: 205 ans
Lieux de vie :: Là où ses activités la mènent
Race :: Vampire de sang-pur
Grade/Métier :: Maîtresse du Cercle des Ténèbres et Professeur de Combat
Guilde :: Cercle des Ténèbres

Derrière l'écran

Quel âge as-tu ? :: 20 ans
Comment as-tu découvert le forum :: En le créant
Comment le trouve-tu :: Rafraichit ^_^
Double compte :: Poesy Celeb mais elle est morte donc non pas de DC pour le moment

Physique
Physique
Sayuri a beau avoir 205 ans, elle est jeune pour une vampire. Comme tous ceux de se race elle a la peau pâle. Ses yeux, hérités de sa mère, sont d’un vert si intense et magnétique que lorsqu’elle fixe quelqu’un, il est quasiment impossible à la personne de détourner son regard d’elle. Ses cheveux, hérités de son père, sont d’un pourpre flamboyant. Un siècle plus tôt, elle passait sa journée à rattacher le lien de cuir qui les emprisonnait car, comme elle, ils se dérobaient sans cesse à leur geôlier. Aujourd’hui elle n’écoutait plus qu’elle-même et avait décidé de faire fît de l’éducation des bandits qui disaient qu’il était préférable de ne pas se battre avec les cheveux dans les yeux. Surtout qu’elle avait quelque chose que ses professeurs n’avaient pas : la magie. Et la magie lui permettait justement de n’être jamais dérangé par sa chevelure soyeuse qui lui arrivait légèrement sous les épaules.
 
Comme ceux de sa race, Sayuri est fine comme une branche de roseau. Cependant il ne faut pas se fier à son apparence car la vie parmi les bandits l’a rendue aussi résistante qu’un chêne et surtout lui a permis d’apprendre à se déplacer totalement silencieusement malgré les poignards et les dagues qu’elle cache toujours sur elle. Ainsi cette vampire est à la fois souple et forte, elle peut fléchir devant les obstacles mais ne se brisera pas.
 
Durant son enfance dans la forêt Astraël, elle s’est aussi entrainer à cacher sa nature vampirique en dissimulant ses crocs. Dans cette même optique de dissimulation, Sayuri porte toujours un capuchon lorsqu’elle part en mission ainsi qu’un pantalon en cuir souple qui ne la gêne pas dans ses mouvements. Ainsi, elle se déplace aussi silencieusement qu’une ombre.
 
En parlant d’ombre, il ne faut pas oublier que le coup de cette vampire est parait d’une amulette magique dans laquelle, régulièrement, elle stock de l’énergie. Cette amulette tous les élèves de l’Académie pourront la reconnaitre puisqu’elle témoigne de l’appartenance de Sayuri à la maison de l’Ombre. Si on retourne le pendentif, on peut y lire les mots suivants :
 
« Ton passé remplis de mystère t'a donné envie de pouvoir et ta détermination est la force de ton Ombre. Ainsi, ta solitude t'as permis de jauger la confiance des gens, ce qui fait de toi une parfaite élève de l'Ombre, remplie de secrets et de mystère.  »
 
Ses mots sont les plus justes que Sayuri n’est jamais entendu et bien qu’elle ait évolué durant le siècle écoulée, ils restent d’actualité. En effet, cette jeune vampire possède en elle quelque chose d’encore plus intense que le magnétisme. Lorsqu’elle se défait de sa cape, tous les regards se tournent vers elle, indéniablement. Sa maîtrise de l’Ombre a transcendé sa nature même de vampire pour la rendre à la fois majestueuse et terrifiante. Son corps frêle la fait paraitre fragile alors que ça posture et son regard montre une force hors norme, une véritable énigme pour les personnes non averties qui ne peuvent voir la magie en elle mais qui sont forcées de constater que cette jeune femme a quelque chose.
 
Nombreux sont ceux qui ont essayé de percer les mystères de ses jolis yeux verts. La force, la magie,… toutes les armes ont été utilisées contre elle et pourtant il n’existe personne pour témoigner de sa défaite. Tous sont passés dans l’autre-monde, celui où va toute âme lorsque sa vie s’achève.
Caractère
Caractère
Sayuri a hérité de son père une détermination sans faille et un désir de pouvoir. Les épreuves lui ont appris la duplicité. En effet, elle a appris à cacher son jeu à la perfection, il en va de même pour son identité. Lorsqu’il le faut, Sayuri sait être bavarde pour amadouer de sa voix certaines personnes bien qu’elle préfère de loin l’économie des mots. Ses répliques, souvent cinglantes, ne montrent pas qu’elle porte peu d’intérêt aux sentiments des autres, car elle ne cherche de loin pas à être indifférente aux personnes qu’elle rencontre. Bien au contraire, cette vampire cherche à montrer à ses interlocuteurs que ce n’est pas eux qui ont une emprise sur elle, mais bien elle qui a une emprise sur eux. Même si parfois, pour s’amuser, elle aime leur laisser croire le contraire. Evidemment, Sayuri sait aussi se faire douce et compréhensive, du moins en façade.

De son enfance solitaire, elle a gardait une farouchetée animale. Ainsi,  obtenir sa confiance est chose impossible car cette jeune vampire n’a foi qu’en elle. Ce qui est aisé, par contre, c’est de se retrouver avec une lame sous la gorge ou des crocs dans le coup lorsqu’on a le malheur de dire un mot de trop ou simplement de se retrouver sur son chemin quand elle a faim.

Vous l’aurez donc bien compris, la pitié n’est pas un mot qui fait partie de son vocabulaire et encore moins depuis sa visite au Temple Elémentaire de l’Ombre l’a rendue plus sombre et puissante que jamais. Comme tous les gens assoiffés de pouvoir, la prudence n’est pas son maitre mot. Sayuri aime montrait sa puissance et ne s’en prive pas. Elle est passée maître dans l’art de torturer physiquement les personnes à qui elle veut soutirer des informations, bien qu’elle est un goût plus prononcée pour la torture mentale. Il est d’ailleurs plus sage pour elle d’user de cette seconde méthode puisque qui dit torture physique, dit sang, et qui dit sang pour une vampire, dit soif et donc perte de contrôle de soi. Or Sayuri a la nécessite de devoir, à tout moment et en tout lieu, être discrète. Ce qu’elle fait avec brio. Après tout elle a une réputation à tenir, il n’y a de la place que pour une Ombre sur cette terre et la jeune vampire tient à son poste autant, voir encore plus qu’à son rang de Sang-Pur.

Ainsi, avec elle pas de demi-mesure : soit on éveille sa curiosité, soit on l’agace et en général les personnes agaçantes ne voient pas leurs cheveux grisonner. Pourtant, parlez-lui de la forêt Astraël et vous aurez peut-être la chance de la voir se métamorphoser sous vos yeux en une personne presque sensible. Avant de se transformer en une vampire magicienne et sanguinaire, il ne faut pas oublier que Sayuri était une enfant orpheline, projetée dans un groupe de bandits sans foi ni loi qui n’ont jamais tout à fait accepté sa différence de race et qui ne lui ont certainement pas apporté l’amour dont elle avait besoin.

Pour finir je n’ajouterai qu’une seule chose. Avec le nouveau poste qui l’attend à l’Académie d’Edälia, elle va devoir apprendre à se contrôler comme elle le faisait plus jeune. Mais refouler les instincts qu’elle a laissé s’exprimer pendant près d’un siècle ne sera pas chose aisée. La duplicité restera toujours son maître mot.

Histoire
Histoire
Il y a plus de deux siècles, au Sud-Est d'Edälia, dans le château du Comte Kuran, perdu au fond du Désert des Morts, naquit un bébé. Fruit de l’union interdite entre la Comtesse Kuran et le conseiller du souverain vampire, le nouveau-né passa les premiers jours de sa vie en prison, dans la cellule de sa mère qui se faisait torturer pour son crime. Pour sauver son enfant, l’ancien conseiller du Comte trouva la force de se soustraire à son geôlier et mena une armée humaine aux portes du château. Les humains n’étaient là que pour servir de diversion pendant que le vampire allait récupérer sa fille. Ainsi, cette distraction lui permis de la sortir du château. Mais elle n’était pas sauve pour autant, le Comte Kuran allait traquer son ancien ami pour pouvoir le tuer lui-même. C’est pourquoi, au lieu de s’enfuir avec sa fille, l’ancien conseiller décida de se séparer d’elle et de se rendre au Comte pour que le bandit auquel il l’avait confié en secret ait le temps de rejoindre la forêt Astraël. Pour sa sécurité, il fut convenu que l’enfant ne connaîtrait rien sur ses parents sauf leur race. Mais c’était sans compter qu’elle entrerait à l’Académie d’Edälia.
 
Sayuri passa des années à vivre parmi les pires hommes d’Edälia. Ils lui apprirent à manier tout type d’armes et à se battre à mains nues. Durant les premiers exercices, la souplesse et les réflexes surhumains de l’enfant ne lui était d’aucune utilité face à ses costauds bandits qui étaient des combattants nés. Mais bien vite l’apprentie dépassa les maîtres ce qui vexa la plupart des hommes qui finirent par la reconnaitre comme une rivale plutôt que comme une alliée. Alors la vampire décida d’apprendre à bouger aussi lentement que ses frères et se mit à cacher ses crocs venimeux. Ces efforts n’étaient cependant pas suffisants, elle rencontrait de plus en plus de haine dans le regard de ceux qui l’avaient élevé. Sayuri leur inspirait tout simplement de la peur. Les bandits savaient que si elle perdait le contrôle, ils se feraient tous tuer.
 
Ainsi la vampire passa de plus en plus de temps seule. Les animaux devinrent ses compagnons et plus elle apprenait à les connaitre et moins elle faisait confiance aux humains. Sayuri finit même par ne plus vivre que la nuit, passant ses journées à dormir aux sommets des arbres pour ne pas être vue ni dérangée. Les oiseaux venaient se poser près d’elle en toute confiance car ils ne faisaient pas partie de la liste de chasse de la vampire, Sayuri n’aimait pas avoir des plumes plein la bouche. Il n’était pas rare non plus qu’un ou deux kélérous lui tiennent compagnie. Leur petite tête curieuse faisait beaucoup rire la vampire qui comprenait bien l’expression Edälienne « Etre curieux comme un kélérou ». Ces curieux animaux la regardaient toujours avec leurs grands yeux ronds tandis qu’elle leur gratouillait leurs petites oreilles blanches toutes pelucheuses.
 
Une nuit, Bran, le fils du bandit qui l’avait adopté vint trouver Sayuri. Il désirait combattre avec elle, ou plutôt contre elle. Combattre jusqu’à ce qu’il parvienne à l’atteindre. Ainsi, toutes les nuits il venait la rejoindre dans une clairière pour qu’elle lui apprenne à se battre avec la vitesse et la même force que les vampires. Après de plusieurs entrainements d’autres jeunes bandits, qui avaient vu leur frère d’armes devenir un combattant de plus en plus puissant, les rejoignirent. Eux aussi voulaient profiter de l’enseignement de Sayuri, un enseignement qui leur serait d’une grande utilité lors de leurs échauffourées contre les elfes. Ainsi, la vampire retrouva une place au sein de cette communauté clandestine et passa certaines de ses nuits à monter la garde autour du camp avec les autres sentinelles nocturnes.
 
C’est lors de l’un de ses tours de garde justement que Sayuri reçu sa lettre d’admission à l’Académie d’Edälia. Alors qu’elle était assise sur une basse branche d’un arbre pour observer la forêt environnante sans être vue, un pigeon voyageur vola jusqu’à elle. Le kélérou qui s’était blotti sur ses genoux se redressa aussitôt pour essayer d’attraper le volatile. Sayuri allait le laisser faire lorsqu’elle vit le morceau de parchemin accroché à sa patte. Ses réflexes étant plus rapides que ceux du kélérou, elle attrapa le pigeon avant lui. Le courrier lui était destiné, à elle qui ne connaissait personne en dehors des bandits. On lui proposait d’intégrer le tout nouvel établissement de magie d’Edälia. Un nouveau départ s’offrait à elle, une chance de quitter sa routine et de rencontrer d’autres vampires. Peut-être même une chance d’apprendre quelque chose sur ses parents, qui ils étaient et pourquoi ils l’ont abandonné.
 
Wasper Wyvern, le chef des bandits, fut ravi de voir sa meilleure chasseuse quitter la sécurité du clan. Non seulement il éloignait Sayuri des bandits que sa nature de vampire dérangeait et apaisait ainsi de vielles tensions, mais en plus il allait disposer d’une espionne dont il pourrait se servir le jour où il voudrait prendre le contrôle de l’école dont la réputation attisait sa convoitise. Ainsi la décision fut simple à prendre pour la jeune vampire. Elle abandonna donc sa vie nocturne pour aller apprendre la magie.
 
Le test d’entrée était simple. Il consistait tout simplement à visiter la grotte de l’Académie pour y récupérer un médaillon qui désignerait l’élément auquel elle était liée. Sayuri ne rencontra pas de grande difficulté et ressortie de la caverne avec une amulette pourpre autour du cou. Son élément était l’Ombre. Grâce à différents cours elle apprit beaucoup de choses durant l’année et demie qu’elle passa là-bas. Et ces choses ne changèrent ne firent qu’affermir le caractère de la jeune vampire. Elles l’affermirent même au point qu’elle diffusa, pour le compte des bandits, un virus dans l’école ce qui entraina la mort d’une élève. Sayuri n’avait aucun remord pour cela. Elle avait déjà pris beaucoup de vies pour le compte des bandits, notamment des vies elfes, qu’elle détestait pour leur arrogance et leur air hautain, et puis ce n’était pas elle, mais bien Poesy Celeb, la directrice de l’Académie, qui avait créé cette arme et l’avait laissé sans surveillance. La vampire n’était donc pas à blâmer, du moins selon ses critères à elle.
 
Durant sa courte scolarité Sayuri fit aussi une rencontre des plus intéressantes. Ses demi-sœurs étaient aussi élèves à l’Académie et l’une d’entre elle, Yuuki, lui ressemblait particulièrement, sur certains points du moins. C’est d’ailleurs cette même Yuuki qui lui apprit lui permis de retrouver la mémoire sur ses parents. Ce fût un choc pour Sayuri qui décida de s’allier à sa demi-sœur. Dans le secret le plus totale, elles utilisèrent un artefact vampirique très puissant pour sceller leur pacte par le sang et devenir de véritable sœur de sang. C’est comme ça que le puissant sang des Kuran qui coulait dans les veines de Yuuki, purgea l’impureté du sang de Sayuri qui était née d’un père humain ayant été transformé en vampire. Ainsi, le pacte liait les deux vampires ensemble pour rendre la noblesse à leur race mais il les empêchait aussi de pouvoir se faire du mal et le poignard qu’elles avaient utilisé contenait ce serment plus une infime partie de leur âme. Il fût convenu que Yuuki le garderait pour éviter que les bandits ne tombent dessus par inadvertance. Et même lorsque Sayuri fût congédiée par l’assassin de Wasper Wyvern, qui devint aussi son successeur à la tête des bandits, le poignard resta aux mains de Yuuki.
 
L’effondrement de l’Académie bouleversa les plans des deux jeunes vampires qui se retrouvèrent séparées. Sayuri ne chercha pas tout de suite à retrouver sa sœur, elle avait d’autres projets. Des projets qui ne nuiraient pas à son serment mais qu’elle devait réaliser seule. Pour cela elle avait un siècle. Un siècle pour préparer sa vengeance sur Morgan L’Ankou, le bandit qui l’avait renvoyé et qui était à présent enfermé dans une urne au fin fond du Lac Perlé. Il est bien connu que le pire ennemi qu’un homme puisse avoir est une femme bafouée, alors imaginait si cette femme est vampire et magicienne.
 
Sayuri passa plusieurs décennies à éplucher tous les livres et écrits qu’elle pût trouver sur les Temples Elémentaires. Ses recherches furent pour la plupart fastidieuses et ennuyeuses mais elle finit par réussir à localiser celui de l’Ombre grâce à plusieurs parchemins presque en miettes qui étaient conservés aux quatre coins du continent. Alors elle y alla et comme la Porte Noire était scellée, elle en força l’entrée. Nul ne saurait dire comment ni ce qu’elle y trouva mais lorsqu’elle finit par en ressortir, des années après, Sayuri avait une maîtrise totale de son élément. Son séjour dans le Temple Elémentaire de l’Ombre en avait fait une maître magicienne de l’Ombre, plus meurtrière et déterminée que jamais.
 
La seconde étape de son plan était de se créer une armée. L’Ankou aurait ses bandits, elle devait donc avoir mieux. Sayuri eu une idée qui lui permettrait à la foi de laisser libre cours à ses pulsions et de pouvoir recruter les meilleurs agents. Elle allait devoir devenir la personne la plus discrète et la plus recherchée de tout le continent, une légende devait naître. Ainsi, la jeune vampire parcouru Edälia de nombreuses fois et dans tous les sens possibles répandant partout où elle passait la mort. Lorsqu’elle assassinait contre une coquette somme d’argent, la vampire ne laissait jamais aucunes preuves que son action était un meurtre prémédité. Mais pour qu’un mythe naisse, il faut des indices. Alors Sayuri profita de la guerre qui s’était déclaré entre les vampires partisans du Pacte ceux contre pour tuer de la manière la plus simple possible. Des corps drainaient de leur sang ou mutilés furent trouver sur tous le continent mais toujours dans une pièce totalement verrouillée sans aucunes traces d’effraction. Les Edäliens, superstitieux, commencèrent à l’appeler l’Ombre. Alors ses assassinats se multiplièrent, toujours si bien menés et si discrets que son identité ne pouvait être découverte. D’ailleurs, si quelqu’un avait eu le malheur d’apercevoir son visage, il ne serait de toute façon plus de ce monde pour la dénoncer aux autorités.
 
Une fois la légende de l’Ombre bien implantée sur le continent, Sayuri n’eut plus qu’à tendre l’oreille et à traquer ceux qui utilisaient son nom pour couvrir leurs crimes. Ils étaient tellement facile à débusquer que cela aurait presque ennuyer la vampire si de temps en temps elle ne trouvait pas un être qui se démarquait par une habilité particulière. Ainsi, la plupart des imposteurs moururent des mains de celle qu’ils avaient voulu imiter. Les plus doués, par contre, se mirent à entendre une voix très enchanteresse dans leur tête. L’Ombre leur laissa un choix simple : être torturé mentalement jusqu’à ce qu’ils perdent la raison ou rejoindre le Cercle des Ténèbres. Tous ceux qui choisirent la torture finirent par implorer qu’on les laisse rejoindre cette guilde mais leurs supplications ne furent pas entendues.
 
Aujourd’hui Sayuri est pratiquement prête à accueillir L’Ankou  mais avant elle doit s’assurer qu’il ne possède pas la seule arme qui pourrait lui infliger un grave coup et pour cela, il lui faut partir à la recherche de sa sœur, introuvable depuis un siècle. L’Académie d’Edälia étant le dernier endroit où Yuuki a été vu, la vampire compte poser sa candidature pour le poste de professeur de combat afin d’avoir le choix libre pour ses recherches tout en ayant un œil sur l’ensemble des élèves où pourrait bien se cacher quelques talents rares à ajouter à sa collection.

© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'
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