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 Xian Feng-Li

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Xian Feng-Li Empty
MessageSujet: Xian Feng-Li   Xian Feng-Li Icon_minitimeMer 1 Jan - 21:50



Xian Feng-Li

 

Informations

Nom Complet :: Xian Feng-Li.
Âge :: 17 ans.
Lieux de vie :: Né dans une maison aux abords de la forêt Asträel, près du marécage abandonné, puis a vécu un peu partout dans la forêt, dans la plaine et le marécage, ensuite a vécu quelques années avec les bandits puis s’en est allé à l’académie
Maisons souhaitées (x2) ::  La maison de l’Esprit ou la maison du Feu
Maison la moins souhaitée :: La maison de l’Eau.
Matière préférée :: Connaissance des Animaux.
Matière souhaitée :: Le cours de Combat (si il y a de la place qui se libère) autrement celui sur les Artefacts.
Race ::  Humain
Grade/Métier ::
Guilde ::
Capacité :: Polymorphe, peut se transformer en tout animal ayant été touché par sa main droite  mais sans en avoir pour autant les capacités physique en tant qu’humain.

Derrière l'écran


Es-tu un garçon ou une fille ? :: Un Garçon au féminin, une fille au masculin. (Garçon).
Quel âge as-tu ? :: 25 ans
Comment as-tu découvert le forum ::  Via l’admin un peu déranger que nous avons ^^’.
Comment le trouves-tu ::  A mon gout, manque un peu de sel et de poivre mais sinon, c’est parfait. En même temps, c’est la première fois que je viens sur un forum rp donc je n’ai pas ni de références de base, ni de raisons de me plaindre.
Double compte ::  Non.
As-tu lu le règlement,  Non
si oui la preuve ::
 Si, plein de fois... enfin, validé.
Autre ::  J’aaaadoooooore les sushis ^^

Physique
Physique - 150 mots mini
C’est un jeune homme  de corpulence normale, mesurant 1m75 et pesant environ 75kg. Il possède un corps finement musclé et un teint doré, de par son activité physique constante en extérieur. Son corps, en partie recouvert de cicatrices, montre ainsi les expériences vécues lors de son séjour dans la nature. La majeure partie de celles-ci sont dû aux combats contre les bêtes peuplant la forêt d’Asträel et ces alentours,  tandis que les autres, ont été faites soit par négligence soit à cause des durs entrainements qu’il suivit avec les bandits. Un signe transcrit dans la langage d'une tribu du Nord du Royaume de Karnevriath, au fin fond des montagnes de l'Ayalamith est tatoué sur le dos de sa main droite depuis sa naissance, un signe qui signifie « Esprit ». Ces yeux, d’un gris bleuté, reflètent un mélange de compassion et de dureté entremêlé. Mais quand il perd le contrôle sur ses émotions, que la colère prend le dessus ou une émotion semblable quelconque, ces yeux vire sur un rouge rubis et quiconque croise son regarde sait à ce moment-là, qu’il ne vaut mieux pas se mettre sur son chemin. Quant à ces cheveux, ils sont d’un noir encre de chine et sont d’une bonne longueur descendant jusqu’au bas de sa nuque et cachant une partie de son visage. Son visage, d’une certaine finesse, pourrait laisser penser qu’il possède une quelconque relation à la race des elfs mais ce n’est point le cas. Son style vestimentaire change en fonction de ces envies. Il préférera surtout des couleurs voyantes et vivantes comme le rouge ou le vert pour se vêtir mais, optera aussi pour des couleurs plus sombres de temps à autres. Cependant, depuis qu’il vit avec les bandits, il s’est trouvé une tenue adéquate alliant confort, esthétisme et mobilité. Il s’agit d’un haut blanc en lin dessinant les traits sculpté de son corps, d’un gilet en fourrure de renard teint en rouge, et d’un pantalon semi-large en lin noir.

Caractère
Caractère - 150 mots mini
Xian est d’une nature très…vivante. C’est une personne sociable qui n’hésitera pas à aller vers ceux qu’il ne connait pas pour s’en faire de joyeux compagnon car, comme il le dit souvent, « Plus on est de fous, plus on rit ». Il possède une soif de connaissance sans pareil qui, la majeure partie du temps, inhibera un tant soit peu la méfiance qu’il pourrait avoir vis-à-vis des certaines personnes. L’activité physique est, pour lui, une envie avant d’être une obligation car entretenir son corps pour être au meilleur de sa forme est un atout considérable dans beaucoup de situation. Mise à part cela, c’est une vraie tête brulée, capable d’affronter de grands dangers afin de tester ces propres capacités et voir jusqu’où elles s’arrêtent. Cependant, malgré le faite d'être à ce point "tête brulée", c'est un garçon mature, capable depuis tout jeune de réfléchir méthodiquement et de comprendre ce que beaucoup de jeunes de son age ne comprendrait jamais.Si c’est un Garçon respirant la joie de vivre la plus grande partie du temps, quand il combat, vous ne le reconnaitrez certainement pas. C’est un adversaire à ne pas sous-estimer car même si il affronte plus fort que lui, il est capable de retourner une situation à son avantage, utilisant tout ce qui l’entoure comme arme, bouclier, chemin de fuite ou encore piège, il analyse toujours le terrain avant de se lancer dans une attaque. Cette façon d’agir, il l’a doit à sa vie passée dans la forêt, seul, à survivre, jour après jour. Quant à son pouvoir, personne n’est au courant de celui-ci, il préfère garder ce secret pour lui, pour le moment en tout cas. Sa couleur préférée est le rouge, il aime se balader en forêt, jouer avec les animaux qu’il croise et découvrir de nouveaux paysages. Quand à ses défauts, c’est un Garçon franc et direct, qui parfois ne réfléchit pas assez avant de parler ce qui peut  déconcerter et en énerver plus d’un. Il est aussi Têtu, impatient et naïf.


Histoire
Histoire - 500 mots mini
…Un cri court dans la pénombre de la forêt d’Asträel...un cri déchirant le silence imposé par la douceur de la nuit…réveillant de ce fait ses occupants pourtant plongé dans un sommeil profond et sans rêves. Ce cri, vient d’un nouveau-né laissé à l’abandon devant la vieille porte d’une maisonnette. Des heures sont passées, laissant l’enfant seul avec lui-même et ses pleurs. Nous aurions pu croire que cet endroit était abandonné si la porte ne s’était pas ouverte dans un grincement, lent et sinistre, laissant entrevoir le visage d’une jeune femme. D’un pas hésitant, elle s’avança vers l’enfant, ne sachant pas si c’était une énième hallucination venant de son esprit malade, ou bien un petit être bien réel.  Prenant l’enfant chétif avec délicatesse entre ces bras, elle ouvrit la couverture dans lequel il était emmitouflé pour ainsi découvrir un bébé plein de vie, pleurant plus par faim que par peur. Elle remarqua un signe particulier sur l’enfant, une sorte de tatouage sur le dos de la main droite, donc l’origine et la signification lui étaient complétement inconnu. Lançant un dernier regarde autour d’elle, espérant voir une quelconque source à ce mystère, elle tourna le dos pour s’en retourner nourrir l’enfant.
Qui est-il ? D’où vient-il ? Et pourquoi nous avoir choisis ? Tant de questions lui viennent à l’esprit.
Elles resteront pourtant sans réponses…pour le moment.

Cinq années se sont écoulées depuis ce fameux jour. Aujourd’hui Xian, du nom du frère de sa mère adoptive, est encore en pleine amusement. Courant dans tous les sens, sautant, grimpant, marchant à quatre pattes, il recherche…il recherche, oui mais quoi ? Lui-même ne le sait pas. Il cherche quelque chose qui puisse l’intriguer, qui puisse mettre sa curiosité à l’épreuve. Recherchant quelque chose de nouveau, auquel il n’aurait pas fait attention avant et qui lui remplirait son cerveau en mal de nouvelles informations, de nouvelles découvertes. Sa mère, Xianghua, le surveille d’un œil en étendant le linge de la famille, espérant qu’il ne se blesse pas, une fois de plus. Son père, Feng, partit chasser le repas du soir, ne rentrera certainement pas avant le début du coucher du soleil. Chasseur de père en fils, il lui arrive de devoir s’éloigner de la forêt pour pouvoir trouver de quoi nourrir sa famille, quitte à chasser dans la plaine ou dans le marécage abandonné. Parfois, il lui arrive de prendre son fils avec lui, afin de lui faire découvrir la joie de la nature, les animaux et les secrets qu’ils renferment. Ils leurs est arrivé de trouver des plantes magnifiques de par leur beauté, et utiles de par leurs propriétés curatives, de rencontrer des renards, des campagnols, des oiseaux et des insectes de toutes espèces. Mais jamais de bêtes dangereuses n’ont été parmi celles rencontrées. Ce serait un trop grand danger pour lui et son fils si une bête féroce venait à leur rencontre, car, la seule solution possible envisagée devrait être la fuite. Mais fuir un prédateur n’est pas une chose aisée…même pour un chasseur.
Les derniers rayons faisant leur apparition, Feng retrouva sa famille avec sur l’épaule, ce qui allait être leur repas du soir et du lendemain, une bonne gazelle bien dodue. Xianghua prit la gazelle et se mit en travail de la préparer. Dépeçage, récupération des cornes et des sabots, salage des parties à conserver et préparation culinaire du repas du soir. Telles sont les tâches quasi-journalières dont elle est attribuée. Le cuir servira à confectionner des habits, les sabots serviront à fabriquer des pointes de réserves pour la chasse tandis que les cornes, Feng préfère les garder afin d’y sculpter des animaux, pour agrandir la collection de son fils. Le repas fini, Xianghua s’empressa de nettoyer la vaisselle et de ranger afin pour pouvoir se remettre à sa passion, qu’est la couture et la broderie. Feng et son fils, Xian, toujours assis à table, des livres en mains, continue l’apprentissage de ce dernier à la lecture. (Comment se fait-il qu’ils sachent lire et écrire ? tout cela est possible grâce à Xianghua. Issue d’une famille aisée, elle a eu la chance d’avoir un instituteur comme frère, son frère Xian. De ce faites, quand elle rencontra son mari Feng, qui était lui analphabète, elle lui apprit tout ce qu’elle savait. Sachant lire et écrire correctement, Ils apprirent à leur fils la lecture et l’écriture car ils savaient que plus tard, cela lui serait certainement utile) Plus Xian lisait, plus l’envie de lire et d’en apprendre davantage le gagnait. Sa curiosité parait sans limite et jusqu’à présent, rien n’avait pu satisfaire véritablement sa soif de connaissance.
Plus tard dans la soirée, alors que la lune faisait petite mine à cette période de l’année, Feng ferma son livre intitulé « les soins par les plantes » pour découvrir un jeune garçon endormi sur un recueil sur les animaux commun des forêts d’Asträel. Il prit son fils dans ses bras, l’emmena dans la pièce d’à côté, le coucha en lui déposant une couverture sur lui afin de lui tenir chaud et lui déposa un baiser sur le front. Et tout en le regardant dormir, il se remémora de comment ce petit être était apparu dans leur famille. Se souvenant ainsi du malheur et du bonheur que cette apparition leur avait procuré. Le père se leva, se dirigea vers la porte puis en jetant un dernier regard vers son fils lui adressa un « Je t’aime mon fils ».


« Papa, papa, je peux venir avec toi à la chasse aujourd’hui ? »
Voilà une question que sortait chaque jour Xian car il pensait que, avoir 7 ans, suffirait amplement à un fils de pouvoir accompagner son père à la chasse.
« Sois patient mon fils, un jour viendra où je t’emmènerais » lui répondit-il
A l’aube du jour, comme d’habitude, le père prépara son matériel pour la chasse. Contrôlant la qualité de son matériel et l’usure, afin d’éviter toutes mauvaises surprises. Une fois que le contrôle fut fait, il prit son arc et son carquois remplis de flèches, mit son sac sur le dos et se dirigea vers sa femme et son fils qui l’attendait devant l’entrée. Il commença par embrasser Xianghua puis se tourna et passa sa main dans les cheveux de son fils en lui demandant :
« Xian, tu protèges maman pendant mon absence, d’accord ? »
Xian acquiesça d’un mouvement de la tête avec un grand sourire.
Feng se tourna et s’en alla, d’un pas décidé, jusqu’à disparaitre derrière la colline surplombant la maison.
Une fois son mari parti, Xianghua s’en retourna à l’intérieur vaquer à ses occupations habituelles tandis que Xian resta dehors afin de se dégourdir les jambes et de s’amuser un peu.  Quand il s’aperçu que sa mère ne le surveillait plus, il hésita un moment, réfléchit quelques instants puis, pour finir, fit ce qu’il avait eu en tête le soir d’avant. Il décida de suivre son père en secret pour voir comment se passait une chasse. Sa soif de connaissance l’avait déjà poussé à quelques bêtises par le passé mais jamais, il n’avait été aussi loin, juste par curiosité. Courant en haut de la colline, il vit son père se dirigeant en direction du marécage oublié. Il décida donc de le suivre à grande distance afin d’éviter qu’il le remarque. Après plusieurs heure de marche, à se cacher constamment derrière les arbres, ce qu’il craignait arriva…il perdit la trace de son père. Vu la vitesse à laquelle il se déplaçait, il se demandait simplement pendant combien de temps il allait réussir à le suivre avant de le perdre. Se retrouvant seul un milieu de la forêt, il réfléchit méthodiquement pendant un instant…la seule chose qui lui vient à l’esprit était qu’il fallait qu’il rentre au plus vite à la maison, en espérant que sa mère n’ai pas remarqué sa longue absence.
Faisant demi-tour, il n’eut pas le temps de faire un pas qu’il se figea sur place, stupéfait. Une perle de sueur coula le long de son front. Ce qu’il avait en face de lui, jamais il n’en avait vu en vrai, les seules descriptions de ce qu’il avait en face de lui, était celles dans les livres lut auparavant. Un pelage d’un gris-argenté seyant donc les éclats des rayons du soleil accentue la beauté presque surnaturelle de la bête. Ces yeux, d’un bleu océan profond, semble pouvoir transpercer votre âme et sentir votre nature profonde. Ces dents, d’une blancheur immaculée, pouvait déchirer le cuir de presque n’importe quel animal et donc, facilement celui d’un homme adulte. L’animal se trouvant en face de lui n’est autre qu’un loup. « Mais normalement, il n’est pas censé en avoir dans la forêt », se dit-il, « pourquoi est-il ici ? » il sait aussi que les loups sont craintifs en général, mais qu’ils peuvent aussi être dangereux si ils sont en groupe ou affamés. En l’occurrence, le loup assis, le regardais simplement sans broncher. Alors quelle réaction fallait-il avoir, faut-il s’enfuir et prendre ces jambes à son cou ou  rester immobile et attendre qu’il parte… Le jeune garçon décida de rester sur place afin de voir ce qu’il se passerait. Etant la première fois qu’il en voit un vrai, il ne voulait pas gâcher cet instant unique de voir un animal aussi dangereux et pourtant aussi magnifique. Il savait les risques qu’il encourait en faisant cela, qu’une mort lente et douloureuse pouvait l’atteindre à chaque instant passé auprès de la bête. Mais pour aucunes raisons, le loup restais la, assis, à regarder l’enfant de ces magnifique yeux bleu comme si il attendait que quelque chose se produise… Xian, qui avait pris le dessus sur sa peur, prit son temps afin de regarder le loup. Observant les moindres détails, afin de graver en mémoire cette imagine unique. Quelques minutes passèrent, puis quelques heures… Puis, une idée vint à l’esprit du jeune garçon. Une pensée invraisemblable…et pourtant… L’enfant tandis sa main droite afin de réduire la distance entre l’animal et lui-même, observant avec attention la réaction de ce dernier. Lentement, il posa un genou à terre, attendit quelques secondes, puis le deuxième. Son cœur commençait à s’accélérer à l’intérieur de lui. Xian, étonnamment détendu, était prêt à prendre la fuite si la situation venait à s’aggraver. Il avait repéré une tanière de blaireau quelques mètre plus loin, assez grande pour qu’il puisse s’y faufiler, et assez étroite pour que le loup ne puisse le suivre. Pourtant, il savait qu’il ne risquait rien, quelque chose au fond de lui le rassurais, une présence, douce et chaleureuse. Peut-être était-ce le loup qui le rassurait… Il avança un genou…puis encore…puis encore, raccourcissant ainsi le distance les séparant. Ils n’étaient plus qu’à une vingtaine de centimètre l’un de l’autre. Xian s’arrêta un instant et regarda le loup dans les yeux. Puis, fermant les siens, il fit le vide dans son esprit, Il savait que quelque chose allait se passé après cela, il le savait mais ne savait pas quoi. En fermant les yeux, il vit le loup se matérialisé devant lui, bien vivant, comme si son esprit l’avais recrée. Sans qu’il ne s’en sois rendu compte jusqu’à présent, il sentait une aura émanant du loup, qui s’en dégageait et qui rendais l’atmosphère douce et agréable. C’était bien cela, C’est bien lui qui le rassurait…mais comment ?  Par quel moyen ? Rouvrant les yeux, il réduisit encore la distance jusqu’à sentir sur sa main le souffle de l’animal. Il ne restait qu’un dernier pas à faire pour que le contact se fasse. Le cœur battant la chamade, il fit le dernier pas, lentement, comme jamais il n’avait été auparavant. Le loup se baissa légèrement puis, Xian, posa sa main sur la tête de l’animal. C’est alors qu’une lumière aveuglante et pourtant si agréable envahi l’enfant, engourdissant ces membres et ses sens. Il remarqua que cette lumière émanait du signe gravé sur sa main. C’est alors que se produisit la chose la plus incroyable qu’il ait vécu. Une voix se fit entendre en lui, une voix si douce et si mélodieuse. Il crut d’abord que ce son venait à ces oreilles mais il en été rien. C’est à son esprit même qu’on lui parlait. Le loup lui parlait directement en lui.
« Tu as été très courageux mon garçon, tu as su garder ton calme alors que le danger te guettait et tu as fait preuve d’une grande maîtrise de soi. »
Est-ce un rêve ou est-il réellement en train de vivre cela, se demanda-il.
« Non, tu n’es pas en train de rêver. Ceci est bien réel. Ce que tu vis en ce moment va te changer à tout jamais et te faire découvrir le don incroyable qui sommeille en toi. »
Un don ?
« Oui, c’est cela. Tu possèdes en toi un pouvoir qui te permettra de faire de grandes choses, bonnes ou mauvaises, cela dépendra de toi-même. Mais c’est aujourd’hui, en cet instant, que tu vas prendre conscience de ton don. »
A cet instant, la lumière qui était apparu sur sa main droite redoubla d’intensité. Ces membres se changeaient, il se changeait. Sur sa peau apparaissait un duvet blanc qui, petit à petit, s’épaississait. Ses doigts se rassemblèrent et ses mains se changèrent en quelque chose qui ressemblait à des pattes. Xian ne comprenait pas ce qu’il était en train de lui arriver, pourtant, sous le regard doux du loup, il comprit que cela était normal. Il se laissa aller à cette nouvelle expérience, curieux de voir ce que cela donnerait. Son nez, ainsi que sa bouche, se changèrent en museau auquel des dents acérées apparurent. Ces oreilles et ces yeux se modifièrent, rendant ces sens plus aiguisés. Puis, quand il ne puis plus se tenir droit, il se laissa aller en avant et retomba naturellement sur ces pattes de devant. Pour finir sa transformation, une longue queue soyeuse vint s’ajouté à tous cela.
Quand il rouvrit ces yeux, le monde autour de lui avait changé. Il ne le voyait plus comme un simple être humain mais il le ressentait tout autour de lui plus intensément. La sensation de l’herbe et de la terre sous ses pattes, le vent emmenant une multitude de senteurs venant de toute la forêt et même de bien plus loin, Les moindres vibrations mélodiques de l’air, tout était nouveau pour lui et déjà il s’imbibait de toutes ces nouveauté. Quelques minutes passèrent pendant lesquelles, Xian, profitant de ces nouveaux sens, médita sur ce monde qui s’offrait à lui. Puis, après quelques instants, le loup brisa le silence qui c’était créer dans l’esprit de l’enfant-loup.
« Voilà, tu as découvert ce dont tu étais capable. Mais cela n’est qu’une infime partie de ce que tu es réellement capable de faire. Malheureusement, je ne puis rien te dire de plus car c’est à toi de le découvrir, afin que par la suite, tu puisses apprendre à totalement le contrôler. »
Xian, réfléchissant quelques instants, demanda à l’animal si le loup était la seul bête auquel il pouvait prendre apparence. Pour seul réponse à la question, le loup eu comme un sourire puis se leva et se tourna pour s’en aller.
« Sache simplement que les possibilités sont infinies, ta seule limite est ton imagination ». Un doute vint s’immiscer dans l’esprit du garçon…et s’il ne pouvait jamais retrouver sa forme humaine. Le loup jeta un dernier regarde sur l’enfant et lui dit
« Nul besoin de s’inquiété mon garçon, souviens-toi simplement de qui tu es » Puis, comme par magie, le loup disparu devant ces yeux. Essayant de comprendre les dernières paroles dites par le loup, Xian se mit à réfléchir. « Souviens-toi de qui tu es »… Peut-être que…, se dit-il. Mais avant qu’il n’ait pu faire quoi que ce soit, il perçut un infime bruit qui fendit le silence de la forêt. Il se retourna et vit avec effroi son père, son arc à la main et une fléché prête à être décochée, le visant. La terreur que lui procurait cet instant le fit trembler de tout son être, car d’ici quelques secondes, il mourra et il deviendra le repas de sa propre famille. Essayant de crier pour l’avertir de ne pas tirer, que c’est son propre fils qui est en face de lui, il se rendit compte que son père ne devait certainement pas le comprendre sous cette forme. Que cela devait plus ressembler à des jappements et des grognements qu’a des paroles compréhensibles. Il se calma de force au fit de la situation, calmant sa respiration, son cœur et ses sens. Ne bougeant plus, il fixa son père dans les yeux puis calmement ferma les siens. Feng n’avait jamais vu ceci auparavant. Un loup apeurer par le danger et sentant venir sa fin est normal mais…le calme que le loup en face de lui faisait preuve était étrange, il relâcha légèrement la tension dans son arc en faisant attention toutefois à une quelconques surprises ou subterfuge de la part de l’animal.
Xian, se concentrant sur sa propre image de lui, sur ses sensations ressenties en tant qu’humain et sur ces propres souvenirs, les diffusa dans son corps, pour ressentir chaque parcelle de son corps comme un garçon normal. Il senti que quelque chose se produisait quand il remarqua que, gentiment, il pouvait se retenir debout. Quand il ouvrit les yeux, il vit son père, une expression de surprise et d’incompréhension affiché sur le visage, les yeux gonflés par les larmes de tristesse et de joie. Il courut en direction de son fils, qu’il a failli tuer plus tôt, et le serra dans ces bras.
« Que s’est-il passé ?  Que t’est-il arrivé ?» demande-t-il. Xian répondu le plus calmement possible :
« Ne t’inquiètes pas, papa, tout va bien maintenant » Le père, devant de telles paroles venant de son fils, reprit son calme et éclaircifia ces idées. Il savait ce que cela représentais, ce qu’il avait vu, car le frère de sa femme en avait subi les tragiques conséquences, celles de cette fameuse chasse aux sorcières. Mais il ne pouvait pas comprendre, il était encore trop jeune pour cela. Feng prit son fils par les bras et lui fit promettre de ne jamais révéler ce secret à quiconque qu’il ne connaissait pas, ce que le Xian promit.
Se levant, Feng prit Xian par la main et ils se mirent en chemin de rentrer à la maison. Il se tourna vers l’enfant et lui demanda
« Me diras-tu ce qui s’est réellement passé ? »
Xian regarda son père et d’un grand sourire lui répondit :
« Ne t’inquiète pas papa, je t’expliquerais tout »

Une nouvelle aube se lève…
« Xian ! Dépêches-toi ! On attend sur toi !
« J’arrive maman !»
Xianghua s’impatiente.
Xian, aujourd’hui âgé de 12 ans, prépare ces affaires afin de suivre ses parents. Ils l’attendaient depuis un petit moment déjà dehors sur la carriole mais comme il ne sait pas trop quoi prendre, il essayait de prendre un maximum d’affaires. C’est la période de l’année où, en général, Feng s’absente pour aller vendre les peaux obtenu lors de la chasse et ainsi faire quelques achats nécessaires. Mais cette année est assez particulière car nous y allons tous ensemble, Feng pense qu’il est temps que son fils voit quelques autres endroits que la maison familiale en dehors des livres bien sûr. Chaque années, feng rapportais de nombreux livres parlant du monde, que cela soit des contrées, des animaux, des guerres et de bien d’autres sujets intéressant. Depuis ce fameux jour avec le loup, Xian, en présence de son père, c’est entrainer tous les jours à se transformer afin de réduire au maximum le temps  de métamorphose. Au début, cela pouvait prendre quelques minutes pour y arriver mais, à l’heure d’aujourd’hui, un simple clignement des yeux lui suffisait. Par contre, il n’arrivait pas encore à avoir les vraies capacités que les loups possédaient. Malgré l’entrainement, il n’arrivait pas à développer ces sens animaliers. Il comprit que son don n’était autre qu’un pouvoir de polymorphe, cela ne pouvait pas être un garou car, comme décrit dans les livres, il n’avait pas cette présence animalière en lui ni ces capacité physique développer en tant qu’humain que les garous possèdent. Il pouvait, simplement en touchant un animal vivant de sa main droite, se transformer en cet animal, même en étant déjà transformer. Pour le moment, la seule bête en quoi il pouvait se transformer était le loup. Enfin, il savait que ce n’était pas sa seule métamorphose..
Ayant fini de préparer ces affaires, il descendit rejoindre ces parents pour enfin se mettre en route. Il leurs faudra entre deux et trois jours pour se rendre à Edälis, la capitale se trouvant au sud. Montant dans la carriole, il se posa sur le rebord et laissa ces pieds balancés dans le vide. C’est ainsi que le voyage commença.
Plusieurs heures passèrent, Xian, s’occupant comme il peut, observe la forêt tout autour de lui afin de voir, de part et d’autres, si il pouvait apercevoir des plantes connues, des terriers et leurs occupants et qui sait, peut-être voir un animal qu’il n’a pas encore eu la chance d’avoir observé. Le premier jour passa rapidement, et avant qu’ils ne s’en soient rendu compte, la nuit était en train de faire son apparition. Feng tira sur les rênes des chevaux, regarda le ciel, puis tout en regardant les environs, dit à sa femme et son fils : « Bon, je pense que nous avons assez avancé pour aujourd’hui. Chérie, peux-tu commencer à préparer le repas s’il te plait ? Pendant ce temps, Xian, va nous chercher du bois sec pour que je puisse faire un feu. » le garçon se mit en marche pour aller chercher le bois, pendant ce temps, Feng prépara l’endroit ou faire le feu, écartant toutes feuilles ou branches passibles de brûler et plaça des pierres en rond. Puis quand il eut fini, il prépara les couchettes pour elle, lui, et son fils. Le repas se passa dans le calme et le silence. Chacun mangea à sa faim et aucunes phrases ne furent échangées. Au moment d’aller se coucher, Feng se rapprocha de son fils qui était en train de se couché et lui souhaita bonne nuit. Puis naturellement, il se coucha à côté de sa femme et tout en l’embrassant tendrement, la prit dans ces bras et tous s’endormirent dans la tranquillité et la douceur de la nuit. Au Milieu de celle-ci, alors que le feu crépitait de ces dernières cendres rougeoyantes, Xian ouvrit un œil et s’assit dans sa couchette. Regardant tout autour de lui, il lui semblait avoir entendu quelque chose. Bon, cela devait être un animal se baladant dans la forêt, à la recherche de petits rougeurs comme repas. Il sentit qu’un besoin commençait à se faire bien ressentir. Il se leva et se dirigea vers un arbre, plus loin afin de se soulager. L’espace d’un instant, il entendit le même bruit qu’il avait entendu tout à l’heure et, décida donc de se concentrer afin de déterminer sa provenance. C’était comme une sorte de battement de papillon mais en plus gros…beaucoup plus gros…et se rapprochant… Il décida donc de retourner vers le campement pour prévenir ces parents. Mais une fois arrivé à celui-ci, ceux-ci étaient déjà réveillés et sur leur garde, prêt à voir apparaitre la source de ces sinistre battements. Ils virent apparaître au loin un nuage noir, se déformant telle une nuée et surtout…arrivant droit sur eux à la vitesse de course d’un cheval au galop. Les deux chevaux, qui avaient été attachés aux arbres avoisinant, hennissaient et se débattait comme des diables, comme si la mort venait d’apparaître.au loin. Et ce n’est pas loin de la vérité… Voyant la peur des chevaux, Le groupe enfila une paire de chaussure à la hâte et l’éloigna du campement. Lorsque le nuage s’approcha, Xian vit que ces battements provenaient de chauves-souris géantes. Ils comprirent le pourquoi de la terreur des chevaux quand ils les virent s’élever dans les airs et que, en l’espace d’une fraction de seconde, ils finirent entièrement déchiqueter dans un horrible fracas mêlé aux cris de terreur de xianghua. Feng, incapable de réagir face à une mort imminente qui risque d’être dans d’atroces souffrances, prit son fils par les bras, le regarda dans les yeux et lui cria pour couvrir le bruit des battements : « Cours Xian !! Cours tout droit et surtout, ne te retourne pas !! » Le fils prit de panique, écouta son père avec attention mais ces jambes ne voulaient plus lui répondre. Il devait partir, là, maintenant, tout de suite !!! Dans un moment de lucidité, il se retourna, puis comme prit d’une nouvelle force, se transforma en loup et commença à courir de toute ses force. « Plus vite, PLUS VITE !!! » se disait-il. C’est à ce moment-là qu’il entendit des cris derrière lui, leurs cris…puis de nouveau ce même craquement horrible de démembrement… Son cœur se serra dans sa poitrine à l’idée qu’il venait de perdre les êtres les plus chères qu’il lui était donné d’avoir. Ces êtres qui l’ont élevé, qui lui ont tout appris, et surtout qui l’ont aimé. Mais malheureusement, il ne pouvait pas se permettre de penser à autre chose que de courir sous peine de mourir à son tour. Alors, il continua de courir, des larmes coulant de ses yeux et son âme déchirée par la perte de ces parents. Il aurait voulu crier sa rage, son désespoir, il aurait voulu se retourner pur les retrouver et voir si ils étaient toujours en vie…mais il devait garder ses forces car il savait qu’il en aurait besoin. Les chauves-souris s’étaient mises à sa poursuite. Courant de toutes ses forces, la peur au ventre, multipliant la puissance de ses membres, il réussissait à tenir la nuée à distance mais pour combien de temps. Courant depuis des heures, la fatigue commença à se faire sentir et il se demanda si sa fin était aussi arrivée…c’est alors qu’il vit au loin une faible lumière. Annonçait-elle sa fin ? Ou bien était-ce le salut qui lui permettrais de survivre ? Il ne le savait pas, tout ce qu’il savait, c’est qu’il fallait qu’il coure dans cette direction pour échapper à ces monstres. Quand il arriva à la lisière de la forêt, il se rendit compte que le matin était en train de se lever et que la faible lumière qu’il avait aperçue au loin, n’était autre que les rayons de l’aube. Sortant de la forêt et continuant de courir dans la plaine, il ne se rendit pas compte tout de suite que les volatiles ne le poursuivaient plus, puis au bout de quelques minutes, il s’en aperçu… Les battements avaient arrêté, elles avaient disparu aussi vite qu’elles étaient apparu… Pourtant, dans sa tête, il les entendait encore…et encore, tel un cauchemar sans fin. Il s’arrêta un moment…puis il reprit sa forme humaine. Les yeux plein de larmes, il s’écroula à genou, fatigué…et dans un sursaut de rage, il hurla de toutes ses forces, criant son désespoir, sa tristesse, frappant le sol de ses poings, sanglotant… il resta quelques heures à pleurer ce qui venait d’être l’évènement le plus tragique de sa courte existence, pleurant sous la lumière douce et chaude des rayons du soleil. Il est seul, plus personne n’est là pour le réconforter, le consoler ou que sais-je… Les heures passèrent, les unes après les autres, et pendant ce temps, Xian resta prostré. Au bout d’un certain temps, petit à petit, ses idées se remirent en place. Il était temps qu’il fasse quelque chose, il ne savait que faire exactement ni où aller. Il se mit à réfléchir aux possibilités qui lui étaient proposé. Il avait le choix entre, retourner au campement récupérer des affaires mais cela équivaudrait à voir ce qui restait de ces parents et franchement, retourner dans cette partie de la forêt ne le rassurait pas du tout, il en était même traumatisé car à tout moment il pourrait tomber nez à nez avec la nuée, pensait-il. Autres choix se proposant à lui, retourner chez lui en forme de loup, ce qui lui prendrait une demi-journée, et y rester en attendant de trouver une solution quelconque. Il serait déjà plus en sécurité là-bas plutôt qu’en restant ici, se disait-il. Le cœur toujours serré des évènements passé, il se leva lentement puis, tout en jetant un dernier regard en direction d’où il se trouvait peu avant dans la journée, se transforma en loup et reprit le chemin inverse qu’il avait parcouru le jour précédant…avec ses parents.

Comme il l’avait pensé, il mit moins d’une demi-journée à parcourir le chemin inverse afin de rejoindre ce qui était, et qui est toujours pour lui, la maison familiale. Arrivant à quelques mètres de celle-ci, il reprit sa forme initial et tout en jetant des regards autour de lui, il se rendit compte que quelques chose ne tournait pas rond. La porte, qui avait été fermée à leur départ, était complètement ouverte et des bruits ressortaient de l’intérieur. Par précaution, il prit le premier bâton qui lui tomba sous la main, et tout en avançant lentement un pas après l’autre, il s’approcha de l’entrée pour identifier la provenance de ces bruits. Arrivant sur le pas de la porte, il jeta un regard rapide du coin de l’œil pour s’apercevoir que des personnes étaient entrées. Un groupe de trois personnes, avait-il pu apercevoir mais peut-être y en avait-il d’autres. Il continua d’avancer, le bâton en main prêt à frapper au cas où ils l’apercevraient. Quand d’un coup, il entendit un bruit sourd retentir derrière lui. Il ne put rien faire, il n’eut pas le temps de se retourner que le monde s’assombrit tout autour de lui.
Des bruits de pas en extérieur, des conversations et des bruits de fer que l’on entrechoc entre eux. Quand il reprit ses esprits, le bruit entendu en extérieur lui fit penser qu’il ne devait plus se trouver au même endroit. Xian ouvrit légèrement les paupières afin de découvrir que le décor tout autour de lui avait changé. Il faisait jour, donc il ne devait pas c’être passé plus d’une demi-journée pendant son inconscience. Et ce n’était plus son ancienne maison qu’il avait sous les yeux mais une espèce de tente, juste assez grande pour accueillir 2 personnes. À côté de lui se tenait un homme assis sur un tabouret. Visiblement, cela devait être un garde, vu l’arme qu’il possédait. Mais pour garder qui ? se demanda-t-il. Il ouvrit complétement les yeux et regarda l’homme, qui à son tour, remarqua le réveil de l’enfant.
« A tu es enfin réveillé. » dit-il d’un ton rassuré.
« Nous avions peur que Bredshack t’aies tué en t’assommant trop fort, il ne maîtrise parfois pas sa force ce bougre » ajouta-t-il. C’est vrai que la tête de Xian résonnait encore du coup reçu plus tôt dans la journée, Et quand il essaya de s’assoir, il manqua de retomber en arrière tellement il était affaibli.
« Une chose après l’autre mon garçon, repose toi encore un moment, histoire d’attendre que tes forces soit revenus et que tes idées soit plus claires. » ajouta-t-il en regardant l’état de l’enfant.
« Ou suis-je ? » murmura Xian. Malgré cette phrase à peine audible, le garde regarda l’enfant puis, d’un ton calme lui répondit :
« Tu te trouves en ce moment dans le camp des bandits, les révolutionnaires, ceux qui désirent la chute du roi.  Mais tu n’as rien à craindre ici, nous ne sommes pas des barbares, enfin, pas tous» rétorqua-t-il en pensant à ce monstre de Bredshack.
«  Je m’appelle Hartos, enchanté, et toi ? Quel est ton nom ? » L’enfant regarda Hartos, hésita l’espace d’un instant, puis se disant qu’il n’avait en effet peut être rien à craindre, lui dit :
« Je…je m’appelle Xian. » Hartos sourit, enchanté de voir que le garçon aille mieux. Puis, tout en se levant et en se dirigeant vers la sortie de la tente, juste avant de sortir, il dit à l’enfant:
« Je te laisse quelques minutes Xian, il faut que j’aille prévenir mon supérieur que tu es réveillé, il m’a demandé de lui dire quand tu te serais réveillé.»
Xian resta dans sa couchette à attendre, écoutant les moindres bribes de conversations qu’il pourrait intercepter. Malheureusement pour lui, il ne comprenait rien de bien spécial. Mais il était sûr d’une chose, la dehors, il y avait beaucoup d’homme, peut-être même toute une armée. C’est à ce moment-là qu’il fit la rencontre de la personne qui, plus tard, allait devenir comme un deuxième père. L’homme qui était entré possédait une ossature et une musculature impressionnante, Xian était sûr que s’il le voulait, il serait capable de tuer un ours à main nu. Mesurant près de deux mètres, ces cheveux, d’un gris tirant plus sur le blanc que sur le noir, montrant l’âge avancé de l’homme en question, étaient assez long pour cachés une partie de son visage. Son visage, dur et carré, était recouvert d’une longue barbe blanche et de nombreuses cicatrices, montrant un passé de combats, d’horreurs mais aussi, par sa présence, de victoire. Il devait être comme un héros dans les livres de contes, vivant les guerres les unes après les autres, survivant à la mort elle-même. Xian observa l’homme encore un instant puis s’attarda sur ces yeux. Ceux-ci, d’un vert émeraude intense, étaient fixés sur le jeune garçon. Il pouvait y apercevoir une certaine dureté du aux expériences passées mais aussi, pour aucunes raisons évidentes, de la tendresse, comme si l’image de l’enfant avait éveillé en lui de vieux souvenirs enfouis depuis trop longtemps.
« Bonjour jeune garçon, je me prénomme Icare, je suis heureux de voir que tu es réveillé. » La voix qui sortait de ce colosse était si profonde, si grave et pourtant si rassurante, que Xian en était perturbé.
« D’après mon subordonné, tu te nomes Xian »Dit-il. Avant que L’enfant ne puisse répondre, l continua :
«  Nous avons ton nom mais, j’aimerais savoir une autre chose à ton sujet »
Xian, mal à l’aise, se prépara à la question d’Icare, quelle qu’elle soit, il faudrait répondre en conséquence, soit par la vérité…ou soit pas un mensonge.
« Que faisais-tu seul dans la forêt, au milieu de nulle part, et surtout, pourquoi avoir attaqué mes hommes ? »
Xian ne comprit pas la moitié de la question. Pourquoi avoir attaqué ces hommes ? Mais il ne les avait pas attaqués…
«  Mais je n’ai attaqué personne ! » Riposta-t-il énergiquement devant cette affabulation
« Je suis rentré chez moi et, j’avais entendu des bruit en arrivant, ne sachant pas comment réagir, j’avais pris un bâton par mesure de précaution et quand je suis rentré, j’ai vu VOS hommes qui étaient en train de piller MA maison. Mais avant que j’aie pu faire quoi que ce soit, on m’avait assommé par derrière… » Reprit-il sèchement en cherchant dans sa mémoire encore un peu confuse
Icare fut surpris d’entendre les propos de l’enfant, car il en avait entendu une toute autre version. Ces hommes rentrant d’une balade en forêt puis au retour, se faisant attaqué sans raison par un jeune garçon. Ils l’avaient gardé par pur pitié car ils ne comprenaient pas ce qu’il faisait seul en pleine forêt. Le colosse regarde Xian dans les yeux puis, avec un léger sourire qui détendit les traits de son visage, ajouta:
« Je crois tes dires Xian, je vais devoir avoir une petite discussion avec les hommes en question. Il faut savoir, de temps à autre, arraché les fruits pourri de l’arbre pour que d’autres nouveaux puissent s’épanouir librement. Mais une dernière chose, tu ne m’a pas encore dit pourquoi tu étais seul.»
Xian baissa les yeux sans dire un mot, se souvenant seulement des hurlements et des bruits… Ces craquements sinistres et ces battements qui sont gravés dans sa mémoire à jamais. Il releva les yeux puis, les larmes aux bords des yeux, il expliqua à l’homme toute l’histoire, n’omettant aucuns détails. Il sentait la rage et l’amertume remonter en lui, tel qu’il l’avait vécu au moment même du drame. Mais maintenant, il ressentait aussi des regrets…donc celui d’avoir dû laisser sa famille se faire tuer pour survivre….et celui de n’avoir rien pu faire pour les aider…Il revis l’image de ces monstres arrivant et déchiquetant les chevaux en l’espace de quelques secondes…Il ne pouvait, non, il ne voulait pas imaginé ses parents finirent comme ces bêtes. Quand il regarda Icare à nouveau, ce qu’il vit en lui le surpris. L’homme en question, écoutant l’histoire de l’enfant avec attention, avait les larmes aux yeux, tout en restant aussi dur d’apparence. Puis se reprenant, le colosse sécha les quelques larmes qui avaient coulées le long de ces joues et, tout en regardant le garçon, il lui dit :
« Ce que tu as vécu aurait traumatisé n’importe lequel d’entre nous, et j’aurais espéré que cela n’arrive à personne, surtout pas à un enfant de ton âge. Je comprends ce que tu peux ressentir mais sache une chose, il ne faut pas garder ces sentiments en toi au risque que cela te pourrisse à l’intérieur. Au contraire, tu devrais être fière de tes parents, car ils ont eu le courage d’affronter ces monstres pour sauver la seul chose qu’ils chérissaient par-dessus tout au monde. Ils l’ont fait par amour pour toi. Après, je ne peux pas te demander d’oublier un tel drame après aussi peu de temps, il te faudra du temps, beaucoup de temps. Et sache que tu peux prendre autant de temps que tu voudras, car autant que tu le désireras, tu pourras rester à nos côtés. » en ayant entendu ces paroles, Xian comprit que l’homme qui se tenait en face de lui, avec son allure de héros et de brute, était un être doué d’une certaine sensibilité et que l’histoire qu’il venait de lui raconter devait l’avoir touché, comme si cela lui était arrivé à lui-même. Il comprit aussi, qu’à l’instant même, il venait de se faire un puissant allié. Icare tourna les talons puis tout en regardant à tour de rôle Xian et Hartos, il dit à ce dernier :
« Bon, je vais de ce pas régler quelques histoires. Hartos, trouves une chambre pour ce garçon, et si possible, qu’il soit seul. Je sens qu’il ne voudra pas partir tout de suite » La dernière phrase était accompagnée d’un large sourire. Puis il s’en alla.
Hartos regarda l’enfant puis, avec un sourire au coin des lèvres, lui dit :
« Bon, suis moi, j’ai une chambre de réserve qui te conviendra parfaitement »

Visez plus bas.
Un coup venant par la droite, non, plutôt par la gauche.
Une estoc.
Parer et contre-attaquer.
Placer un coup de pied puis un revers
Esquive, esquive, feinte puis coup à la tête
Utilisé le poteau pour se caché, évité ces attaques puis attaquer par surprise.
Xian, en pleine entrainement de combat, avait pris l’habitude de se battre avec Hartos qui était maître d’arme avant de devenir bandit donc, autant dire que la connaissance du maniement des armes de celui-ci était plus que poussée. Mais ces entrainements aux combats préférés restaient quand même ceux avec Icare. Car, ancien mercenaire de métier, il se débrouillait aussi bien que le maître d’armes. Ces combats mettait le jeune homme à rude épreuve car le colosse était moins clément qu’Hartos ce qui rendait l’entrainement beaucoup intéressant. Mais pour un jeune combattant, il ne se débrouillait vraiment très bien. Il apprenait très vite et essayait d’avoir toujours deux temps d’avance sur son adversaire. Malheureusement pour lui, Hartos et Icare en avait toujours trois d’avance sur lui. Ce qui est normal pour de tels combattants.
Durant ces  cinq années passées auprès des bandits, il eut amplement le temps d’apprendre énormément de choses, que ce soit le maniement des armes, du fleuret à la dague en passant par l’arc et les couteaux de lancés, la chasse, de la confection des piège au pistage des animaux en passant par le camouflage, ou encore la confection d’habits à partir de matériaux primaires. Sa chambre ressemblait à une véritable bibliothèque. Il avait demandé à Icare s’il était possible de récupérer les livres se trouvant chez lui. Le colosse fit même mieux que cela, car en même temps de lui ramener les livres demandé, il demanda à certain bandits, ceux de confiance, de ramener de temps à autre des livres de toutes horizons afin de satisfaire la soif de connaissance de l’enfant. Grâce à cela, il en apprit autant sur le monde de Rëvalïa que sur les créatures communes qui peuplaient cette terre ou encore sur la constitution du corps humain et les divers remèdes naturels afin de le soigner. Il en avait aussi appris un peu sur les diverses races existantes mais il n’y avait pas beaucoup d’informations, juste assez de quoi satisfaire sa soif. Mais il savait que sa présence, ici, chez les bandits, malgré son adoption quasi immédiate, n’allait pas duré car il ne se sentait pas vraiment dans son élément. Le vol, le pillage, les enlèvements et même parfois les meurtres…tout cela n’était pas pour lui, même si leurs causes étaient justifiées. Icare avait sentis que le jeune homme ne se sentait pas à sa place, c’est pourquoi, parmi les jours qui suivirent, il l’invita à discuter plus amplement avec lui, tel que l’aurait fait un père et son fils.
« Comment te portes-tu aujourd’hui ? » Dit-il en voyant le garçon arrivé.
« Je vais bien, merci. Je sors juste de l’entrainement avec Hartos. Je crois qu’il commence à y aller plus sérieusement, cela prouve que je m’améliore encore » Dit le jeune homme encore un peu essoufflé par le combat.
« C’est très bien, tu t’améliores rapidement de jours en jours, et avec toutes les connaissances que tu as acquises ces dernières années, tu serais capable de te débrouillé seul si un jour nous ne serions plus là, je suis vraiment fier de toi » Dit-il d’un ton légèrement mélancolique.
Xian avait peur de comprendre ce qu’il entendait par « Capable de se débrouiller seul » mais il savait que ce jour approcherait. Le jour où il faudrait qu’il parte.
« Je sais que t’as place n’est pas parmi nous, que ce monde n’est pas le tien, nous ne pouvons t’offrir ce que tu recherches au fond de toi mais je connais, enfin, disons que j’ai entendu parler d’une sorte d’école où les personnes comme toi pouvait y aller pour apprendre davantage de matières et se développer. »
« Les personnes comme moi… ? » Dit-il perplexe… Puis, d’un coup, la vérité apparu au grand jour. Il savait…il était au courant pour son don, mais comment ? Il ne s’était pas transformer une seul fois en cinq ans en leur compagnie, de peur se faire rejeter.
« Je sais que tu te demandes comment je suis au courant pour ton don, mais sache qu’il y a des questions qu’il ne vaut mieux pas poser et des réponses donc on peut se passer. Sache juste que les seules rares personnes à le savoir sont Hartos et moi-même donc tu n’as rien à craindre »
Xian, un peu plus rassurer qu’avant mais toujours aussi perplexe, réfléchi quelques instants puis, sa curiosité reprenant le dessus, demanda :
« En sais-tu un peu plus sur cette sorte d’école ? »
Le Colosse prit quelques secondes de réflexion puis lui répondit :
« Tout ce que je sais, c’est qu’elle se trouve quelque part au Sud-Ouest d’ici. Je ne puis t’en dire plus car je ne possède pas de plus amples informations. Mais peut-être qu’à Portua, tu trouveras quelqu’un qui puisse mieux te renseigner. Mais fais attention, nous vivons une époque où il n’est pas bon de posséder un don. Donc prend garde auprès de qui tu te renseigneras. »
Xian se leva, puis tout en regardant Icare, se dirigea vers la porte d’entrée tout en lui disant :
« Je ne te remercierais jamais assez pour tout ce que tu as fait pour moi durant toutes ces années. Mais maintenant, je sais ce qu’il me reste à faire.»
« Et que vas-tu faire maintenant » Lui demanda le colosse
« Je vais de ce pas préparer quelques affaires pour le voyage, de puis ici jusqu’à Portua, il y a pour deux jours de marche donc autant me préparer de suite. D’ailleurs, je vais aussi avoir besoin de provisions. » Lui répondit Xian, tout excité par la nouvelle qu’il venait d’apprendre.
« Non » Dit-il
Xian se retourna, déstabilisé et ne comprenant pas le sens de ce « non »…
« Il te faudra pas deux jours. Cela te prendra une demi-journée, si tu y va à cheval bien sûr. Et justement, nous avons perdu un cheval récemment qui attendra son propriétaire à l’extérieur du camp, lorsque celui-ci sera prêt » Dit-il en faisant un clin d’œil
Xian eut un grand sourire s’affichant sur son visage.
« Encore une dernière chose. Lors de ton départ, nous ne pourrons pas venir te souhaiter au revoir. Cela paraitrait étrange que le second et le maître d’arme soient, au même moment, en dehors du camp, surtout avec le chef en question que nous avons  se doute de tout et n’importe quoi du moment que ce n’est pas habituel… Mais ne t’inquiète pas, Hartos est déjà au courant de ton départ. Cela ne sera pas évidant pour tout le monde mais il faut parfois savoir partir sans se soucier du reste. Autant lui que moi, nous l’avons déjà compris mais toi, tu vas devoir apprendre. »
Xian eut un dernier regard envers celui qu’il a considéré pendant tout ce temps comme son père et lui dit :
« Merci Beaucoup »
Puis, désirant ne pas s’attarder sur ces adieux, il se tourna et repartis en direction de sa chambre afin de commencer les préparatifs.

Tard dans la nuit, alors que le camp était plongé dans un sommeil réparateur et rempli de rêves, un hennissement se fit entendre au loin suivit de bruits de sabots, signifiant ainsi le départ d’un jeune homme donc la vie allait bientôt changer radicalement.

Icare avait raison, il ne fallut pas plus d’une demi-journée pour que Xian arrive au village de Portua. Descendant de son cheval, il prit la bride en main puis continua d’avancer à pied. Il y avait beaucoup de monde ici, des marchands, des pêcheurs et des paysans. Il trouva un endroit où attaché son cheval, en attendant de trouver ce qu’il était venu chercher, puis se remis en recherche. Cherchant des yeux des personnes bizarres, au comportement étrange ou encore qui lui inspirerait confiance. Au bout de quelques minutes, il remarqua qu’il n’y avait aucune personnes qui ressemblait un tant soit peu à ce qu’il cherchait. Puis, tout à coup, il entendit une voix venant d’une ruelle. Une voix étrange, avec un ton mélangeant moquerie et sarcasme :
«




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Dernière édition par Xian Feng-Li le Mer 8 Jan - 20:14, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Xian Feng-Li   Xian Feng-Li Icon_minitimeJeu 2 Jan - 14:15

C'est parti. Pour le physique, voilà les remarques de Chris :

"Juste un petit détail, quand tu dis qu'un « signe chinois est tatoué sur le dos de sa main droite depuis sa naissance, un signe qui signifie « Esprit » », ça me pose problème. Le chinois n'existe pas sur Rëvalïa : il y a la langue commune employée par les humains (et que quasiment toutes les races parlent), il y a l'elfique, l'ancien alphabet vampirique de Nandoriath (mais qui n'est plus utilisé), ainsi qu'une multitude de petits dialectes parlés par des tribus ou des communautés particulières, mais pas de signes chinois !
Si vraiment tu tiens à faire paraître le côté étranger de ce tatouage, je peux te proposer « le langage d'une tribu du Nord du Royaume de Karnevriath, au fin fond des montagnes de l'Ayalamith »."
Je rajouterais le fait que tu parles d'une couleur "Encre de Chine". C'est un style, une couleur, une idée, donc tu peux t'en servir en description. Mais prends garde à ne jamais utiliser le terme dans les paroles ou les pensées de ton personnage, sinon notre modo te tombera dessus, car la Chine, ça n'existe pas :p

Le caractère bon, j'ai pas grand chose à redire là dessus. Passons plutôt à l'histoire et au don :
Déjà, ton personnage à 7 ans est plus mature que moi aujourd'hui. Yay. Je trouve du coup que ça va moyen avec le caractère qui parle plutôt d'un enfant hyper actif qui réfléchi pas toujours avant d'agir. Change peut-être le passage où il suit son père et le passage avec le loup là dessus, histoire que ça colle un peu plus à son caractère quoi. Parce que là, il réfléchi de manière ultra posée alors que tu le décris comme quelqu'un qui réfléchi pas toujours avant de parler. Pas cohérent ^^
Ensuite, pour la transformation. Si on prend la solution suivante : tu prends la forme d'un animal que tu as déjà toucher, ce n'importe quand dans ta vie. Mais tu n'en prends que la forme, c'est à dire que tu n'auras jamais les capacités d'endurance d'un loup normal (ou d'un garou), même si forcément vu la façon dont les loups courent tu iras forcément plus vite, mais tes capacités en tant qu'animal ne dépassent pas tes capacités en tant qu'humain, ce n'est que du camouflage (cacamou-cacamou-cacamouflage !), donc tu prends cette forme. Mais te transformer en poisson ne te donne pas la capacité de respirer sous l'eau, par exemple, car tu prends la forme d'un poisson, tu n'en deviens pas un. Pareil pour les oiseaux, tu ne peux pas pour l'instant voler (à moins d'une grande maitrise de soi, donc après deux ou trois ans de cours). Bref tu as une forme animale, mais ça ne change que ta forme, ce que tu es. C'est d'ailleurs la base de la polymorphie telle qu'elle est définie par la potion de polymorphie (que mon personnage utilise) : même en vieux schnok je peux mettre des marrons aussi fort qu'avec mon personnage normal quoi. C'est TA condition physique, TES sens, tout ça. Après, il s'avère qu'en loup, tu as des crocs et des griffes, ce qui est un avantage indéniable. Or, il s'avère que cette proposition ne change pratiquement pas ton histoire. Mis à part le fait que tu dises avoir un changement dans tes sens lors de ta première transformation (ce qui, du coup, est faux : tu vois par tes yeux et tu sens par ton nez quoi). Ensuite, on va dire que, vu que ce loup a l'air d'être envoyé magiquement tout ça, il est capable de parler avec toi. Mais ce sera le seul, d'accord ? Les animaux ne parlent pas, ils communiquent, cela ne correspond en rien à notre langue. Et si on suit l'idée de polymorphisme, tu n'en seras pas capable. Tu prends la forme, c'est tout. Donc je te laisse la communication avec ce loup, ça me dérange pas, parce que "ta gueule c'est magique", mais pas d'autres, d'accord ? Smile
Le reste ne me dérange pas. Niveau nombre de mot, c'est assez largement atteint mais je te laisse finir. Ya quelques fautes mais ça se perd dans la masse donc ça va aller.
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MessageSujet: Re: Xian Feng-Li   Xian Feng-Li Icon_minitimeVen 10 Jan - 23:05

Bien, après une lecture intensive, nous ne pouvons pas valider ta fiche et cela pour plusieurs points.

Il y a tout simplement trop de fautes, relis toi, relis toi et relis toi. Passe ta fiche sous correcteur orthographique (ici), souviens toi des règles basiques de français (comme pour "ses" et "ces" ou encore "-er" et "-é"), bref retravaille tout ça. Ne jongle pas non plus avec la concordance des temps, choisis un style bien précis. Fais attention aux mots qui manquent, certaines de tes phrases n'ont simplement aucun sens. Tu as également un gros souci de ponctuation, trop de virgules ou pas assez.

Il ne sert à rien d'écrire beaucoup, si c'est pour s'attarder sur des détails inutiles. Décris une partie de son enfance, un événement marquant, le pourquoi de son évolution, mais va droit au but. Certes, j'ai moi même une longue prés, mais je décris des étapes, comment fonctionne une certaine société, etc. Toi tu nous fais lire pendant 10 minutes, l'importance du repas de tel jour. Sans vouloir te manquer de respect, on s'en fout !

C'est bien d'avoir de l'inspiration, mais il faut savoir l'utiliser.

Pour terminer, je parlerai de certains détails marquants. Comme par exemple le fleuret dans l'apprentissage des armes chez les bandits. Cette arme appartenant à la noblesse, elle n'a pas sa place dans ce "monde". Comme pour ta recherche d'informations, la personne que tu recherches n'est pas forcément bizarre.

Concernant ta description physique, en tant qu'humain, tu n'as tout simplement aucune raison d'avoir des yeux rouges. C'est cool, c'est dark, mais c'est inhumain. Les vampires ont des yeux rouges, les Célestins également ou encore les démons.

Une présentation très clichée, proche d'un Shonen, mais on a tous eu une phase comme ça avec nos débuts. Bref, ceci n'est en rien des reproches, mais une critique constructive pour que tu puisse t'améliorer.

Voila, voila.
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