C'était en Marx, j'étais pas de bon Hume-heure, Epictète que j'étais un peu More-rose, je voulais me taper une meuf alors je suis sorti, c'est Lacan en voyant une, je me suis dit al-Aurèle, elle en aurait bien envie aussi, elle Freud-donnait une petite musique et était Rousseau cheveux. Je l'ai appelée, elle a répondu "J'Aristote suite.". J'l'ai prise par le bras et je me suis dit "J'la Spinoza ?" parce qu'il y avait Kierkegaard de nuit. D'Aquin type passait, Augustin, je me la jouait naturel. J'ai demandé à quelqu'un un endroit où y'avait Bergson. Il était mexicain, il m'a répondu "Machiavel parc à côté, Satre-irait bien pour faire des affaires au calme." Alors on y est allé et le frère de la fille s'est pointé et Kant il m'a dit qu'il allait me Nietzscher l'Hegel, j'en ai pas pris Comte. Puis il m'a cassé une dent, j'lui ai dit que j'Dagonet-sait pas c'te fille, que c'était elle qui avait décidé Descartes et les pattes mais elle, elle Nietzsche-est pas, elle voulait vraiment qu'on me casse l'Hegel. Alors les coups de poings virent-Voltaire, je criais "Mais Arendt, fait Pascal dit !" Puis je me suis réveillé à l'hôpital, on me disait "Il est Platon crâne." puis l'infirmière est arrivée et moi je voulais pas parce que j'aime pas l'Epicure. D'ailleurs ça me fait penser qu'il faut que j'achète une Nietzsche pour mon chien.
( Fait avec des potes en Philo pour déconner )
Un poème romantique
Ô Vénus, maîtresse de cette olympique flamme
Qu'il y a dans mon corps, mon coeur et mon âme
Je suis ton poète, ton joueur de lyre
Et la moindre de tes caresses me fait frémir
Féru de partitions, ton sourire a mélodie
Qui me parle, me touche, m'emmène au paradis
C'est une odeur de béatitude, s’ensorcellent l'essence
Bientôt, tu me rejoindras du cap de Bonne-Espérance
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J'en ajouterai d'autres au fur et à mesure