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 Mathias Crowley, la mercenaire qui n'est pas petite

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Mathias Crowley
Edälia
Mathias Crowley
Date d'inscription : 15/02/2018
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Lieux d'influence : Quelque-part

Feuille de personnage
Race: Humain
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MessageSujet: Mathias Crowley, la mercenaire qui n'est pas petite   Mathias Crowley, la mercenaire qui n'est pas petite Icon_minitimeMer 10 Fév - 20:53



Mathias Crowley, mercenaire errante

Identité


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Nom et prénom : Mathias Crowley


Race : Humaine


Type(s) de magie utilisé(s) : Magie de l'air récemment découvert


Capacités non-magiques : Survie en milieux sauvages, maniement d'arc court et d'épée courte, premiers soins, cuisines basique, fuite en cas de situation trop risquée, maîtrise des plans improvisés et maîtrise du sarcasme situationnel


Age : 25 ans en 411 a.E.


Sexe : Femme


Royaume et lieu de vie habituel : Edalia, mais vivant parfois dans une cabane isolée dans la partie édalienne d'Astraël


Rang social : Ancienne ermite, mercenaire errante et future élève de l'académie de magie


Influences : Mercenaire de petite influence mais très réputée pour ma petite taille (à mon grand désespoir).







Apparence



Si vous vous demandez à quoi je ressemble, vous direz que rien qu'à mon nom et à mon statut de mercenaire solitaire que je suis un homme géant, musculeux avec une tête de bourrin qui semble avoir survécu à des apocalypses diverses et variées. Dans ce cas, je vais vous décevoir car vous êtes absolument à côté de la plaque.

En réalité, je suis une jeune femme pas trop pâle, mince, ni trop chétive, ni bodybuildée. Juste un corps banal d'une personne lambda en bonne santé avec des petits seins presque inexistants, preuve comme quoi je n'ai pas un physique de rêve pour les coureurs de jupons. Question taille, oubliez le terme de géant car mes 1m64 a été la source mon complexe de taille et que tout le monde me traite de gamine. Déjà que pour couronner le tout, j'ai beau avoir le quart de siècle, on me donne l'impression que j'ai 17-18 ans alors que je n'ai aucun sang elfique ou autre race dotée d'une jeunesse durable.

Mon visage est plutôt rond, presque enfantin ou garçonnet, voire paisible et agréable à regarder si je suis de tempérament doux ou neutre, sauf quand je m'énerve ou quand je fais l'excentrique ou la machiavélique qui me donne un petit côté démoniaque et espiègle. J'ai des grands yeux avec des iris verts émeraudes, dont mon regard peut trahir mes intentions excentriques. J'ai des cheveux bruns et courts, coiffée d'une paire de lunettes à souder en cuivre que je porte de manière ornementale, ces dernières ayant de réelle utilisé dans des situations où je dois protéger mes yeux.

En ce qui concerne ma tenue vestimentaire, on me distingue facilement avec ma longue veste verte foncée, d'où mon désagréable surnom de Haricot Vert. Je porte aussi un pantalon noir, des bottines noires en cuir et un haut sans manche noire (quasiment que du noir en fait). Si vous êtes beaucoup trop curieux, vous pouvez remarquer que j'ai des bandages en guise de soutien-gorge qui compressent le peu de seins que j'ai. Je porte aussi autour de mon cou un pendentif argenté en forme de corbeau, animal emblème de la famille de mon père adoptif.

En armement, j'ai un arc court en frêne et un carquois en cuir brun remplis de flèches pour le combat à distance et une épée courte en acier pour le combat rapproché, prouvant que je ne suis pas une femme sans-défenses.


Personnalité



Je vous préviens tout de suite, je suis certes neutre et impassible la plupart du temps, mais mon caractère n'est ni glorieux, ni exemplaire. Donc ne vous plaignez pas de ne pas vous avoir prévenus.

Quand je dis neutre, je voulais dire que je suis en général sarcastique et cynique quand je suis calme, même si par moment, je cache difficilement mes vrais émotions. Mais je perd mon sang-froid dès qu'on me traite de gamine. J'ai toujours haïs qu'on me traite de gamine. J'ai 25 ans, bordel ! Bref… revenons à nos moutons. Il est vrai que je connais des débordements émotionnels dans des cas précis comme ma colère qui est liée à mon complexe de taille ou quand on me cherche trop, voir quand une situation devenait trop soulante pour moi.

Autre caractère majeur : mon excentricité que j'ai eu par l'influence de mon père adoptif a déjà marqué plus d'un, au point où on me voit comme quelqu'un de très bizarre, voire tordue. En effet, quand j'ai une idée derrière la tête, mon regard s'illumine, donc tout le monde me voit comme si j'étais possédée par un esprit machiavélique donc personne n'a envie de faire partie de mes idées bizarres. Quand je dis "idées bizarres", c'est comme par exemple forcer quelqu'un à s'habiller en gibier pour appâter une bestiole féroce ou d'autres conneries de ce genre. Mais il faut dire que mes idées certes improvisés mais qui a du sens.

Mais pour ceux qui me connait bien, je suis quelqu'un de très amicale, bonne vivante, compatissante, voire taquine avec mes amis ou mon père adoptif. Enfin… encore faut-il que quelqu'un veuille être ami avec moi car mon excentricité, ma neutralité et ma colère ne me rend pas du tout attirante. Mais bon… avec mon métier ou ce que j'ai connue avant mon adoption, j'ai dû forger un caractère très renforcé pour supporter les aléas de la vie d'une mercenaire solitaire et libre comme l'air.

Au travail, je n'ai pas de morale douteuse. Je n'accepte que des missions qui n'implique ni meurtre, ni vol, ni implication politique ou discriminatoire, et encore moins de faire l'impossible pour mes compétences actuelles. Je préfère éviter d'avoir des ennuis avec tout ça.


Histoire


 

Vous voulez connaitre mon histoire ? Si vous insistez… Mais je vous préviens, le début n'a rien de passionnant et moi-même, j'ai toujours détesté le début de ma vie. Mais si vous insistez vraiment, je ne vois aucune objection pour que je vous la raconte.

Tout a commencé à Zerfall, un village paumé du nord de la partie edalienne de forêt d'Astraël, où ma mère mourut après m'avoir mis au monde. Un accouchement qui aurait pu aussi coûter ma vie mais dont j'ai "miraculeusement" réussi à survivre, allez savoir pourquoi. Une personne normale aurait pu être triste d'avoir perdu sa mère. Mais ce n'est pas le cas pour ma mère qui, selon les zerfalliens, était une prostituée dont j'ai été le fruit d'un de ces services réalisé pour un de ses clients, ce qui conclut que je ne connaitrais jamais l'identité de mon père et de recevoir comme présent de début de vie le titre de fille de putain et d'un nom dégradant (que j'ai oubliée à mon plus grand plaisir) jusqu'à la fin de mes jours. On ne choisit pas ses parents mais si j'avais su que ma vie serait ruinée à cause de mon titre, j'aurais préférée ne pas survivre à ma naissance. Le destin est vraiment cruel parfois.

Les premières années de ma vie étaient misérables et insignifiantes. Vivre dans un orphelinat miteux où on est limité en nourriture consommée par jour avec des chances de mourir de faim, de froid ou de maladies diverses et variées en plus de me faire rappeler tout le temps que je suis une fille de putain en plus d'être le bouc émissaire de ce foutu village. Pour ma part, je m'en foutais de ce qu'il pourrait m'arriver. Même s'il y a une attaque qui raserait ce village qui n'est même pas indiqué sur la carte du royaume et que je mourrais au passage, ce serait une aubaine pour moi car la mort serait ma seule échappatoire à cette misérable vie. Enfin… c'est ce que je pensai à cette époque.

J'avais six ans. J'étais punie pour une bêtise qui était en réalité causée par un autre enfoiré d'orphelin mais qu'on m'a immédiatement porté le chapeau à cause de mon foutu titre comme d'habitude. En punition, je devais passer toute la nuit à nettoyer les latrines puantes de cet établissement. En plus de l'odeur, je devais faire des allers-retours incessants vers la fontaine à l'extérieur de l'enceinte de l'orphelinat. Mais ce n'était que lors d'un de mes passages vers ladite fontaine que je voyais quelque chose de louche devant l’abattoir de la boucherie du village. C'était un homme qui portait une cape noire dont son visage était voilé par une capuche. Mais ce qui attirait mon attention était le fait qu'il faisait saigner une poule blanche pour y remplir une bouteille de vin à l'aide d'un entonnoir. Un enfant normal peut prendre peur en voyant ça, mais moi, j'étais intriguée par ce mystérieux personnage au point de m'approcher discrètement de lui afin de savoir ce qu'il allait en faire du sang de poulet. Mais les gargouillis de mon ventre qui crie famine depuis deux jours trahissaient ma présence, ce qui fit sursauter l'inconnu avant de regarder dans ma direction tout en restant sur ses gardes. L'inconnu et moi, nous nous fixions sans bouger pendant quelques longues minutes. De longues minutes auxquelles je pensais que cet homme allait me tuer pour faire disparaître le moindre témoin de son acte. Mais au lieu de ça, il retira d'un geste de la main l'entonnoir de la bouteille avant d'y placer un bouchon de liège afin de ranger sa flasque de verre et son instrument conique dans un sac dissimulé sous sa cape, puis il s'approcha doucement vers moi. Je pensais vraiment que j'allais mourir cette fois-ci, mais après avoir regardé aux alentours de lui, l'homme me prit rapidement dans ses bras avant de partir de l'abattoir en courant à une vitesse inhumaine à travers les rues sombres du village, où il s'essouffle quelques instants avant de trottiner dans la forêt. Tout s'était passé si vite pour moi que je me contentai de rester agrippée à la chemise de cet homme dans l'incompréhension la plus totale.

Cet homme m'a emmené au fin fond de la forêt un peu plus loin de mon village natal, me retrouvant ainsi dans une petite cabane rustique et isolée. Je me suis dit à ce moment-là que je vais être tuée ou torturée à l’abri des regards. Le kidnappeur me fit entrer dans sa maison, ferma la porte derrière lui en la verrouillant avec une clé en fer forgée, puis alluma une vieille lampe à huile pour finalement s'asseoir sur un fauteuil miteux en soupirant de fatigue, retirant sa capuche pour dévoiler son visage : un homme qui a à vue de nez une trentaine d'années, blond avec une barbe de même couleur, un visage bien pâle en plus d'être vêtu comme un noble. Mais après qu'il sortit sa fameuse bouteille de sang de poule de son sac, je constatais au moment où il retirait le bouchon avec ses dents qu'il avait de très grandes canines. Je me suis dit en voyant ça que cet individu pourrait être un vampire tel décrit par tout le monde. Mais quand je voyais ce vampire en train de remplir un gobelet en argent de ce liquide rouge avant de la boire lentement, je lui demandais pourquoi il ne me tuait pas. Après avoir fini son verre, il me répondait qu'il a horreur de boire du sang humain et qu'il refuse de faire du mal aux enfants. Surprise par ce que je venais d'entendre, je lui demandai pourquoi il m'avait enlevé. Il me répondait qu'il ne prenait pas le risque de laisser un témoin de sa présence ou de son acte en liberté à cause de la mauvaise réputation des vampires. Cependant, je lui ai dit que personne ne croirait ce que je dirai car pour les villageois, les enfants de putain comme moi sont des menteurs. Après mes dires, il me regarda d'un air surpris avant de détourner son regard comme s'il ne savait pas quoi dire. Après un petit moment de silence, il me répondit que c'est une raison de plus pour ne pas me ramener au village.

Au départ, je me sentais comme une prisonnière désintéressée de la maison de cet ermite vampire nommé Octavio Erebus Crowley, tout en pensant qu'il me gardait par pitié envers moi. Mais je me fichais de la justification de cette étrange pénitence car il me nourrissait avec de la viande de gibier évidé de leur sang, notamment du poulet dont il est friand. En comprenant rapidement que je menai une largement meilleure vie comparée à l'orphelinat, le terme de prison était exclu de la qualification de cette maison rustique. En plus, je savais que je ne manquerai à personne à cause de ma réputation. De plus, il m'avait retiré mon ancien nom en disant qu'il était affreux, le remplaçant ainsi par "Mathias", un nom qui pour moi est plaisant à avoir.

Mais au fil des jours, j'en apprenais beaucoup plus sur Octavio, comme le fait qu'il a été un humain issue de la noblesse avant de se faire transformer en vampire à cause d'une vampire malveillante qui a massacrée toute sa famille, l'obligeant à fuir à cause de sa ville à cause de son statut de monstre sanguinaire. J'ai dû même apprendre qu'il refusait de boire du sang humain volontairement pour garder ce qui lui reste d'humanité. Depuis que j'ai appris cela, j'ai compris que sa pitié envers moi était due au fait qu'il était lui aussi exclu de ce monde pour ce qu'il est, même si la raison de cette exclusion n'avait pas le même motif.

Le mois depuis le jour de mon enlèvement passé, j'ai fini par me rendre compte que la manière dont le vampire m'a élevé et nourrit avec soin correspondait à celui d'un très bon parent, ce qui est un véritable luxe inaccessible pour les orphelins de mon village. J'ai eu beau avoir une réputation merdique, mais bizarrement, c'est finalement moi qui ai eu ce luxe-là. C'est à partir de ce moment-là que j'ai donné à Octavio le surnom de "Vampapa" comme preuve d'acceptation de notre relation père-fille et que je retrouvais la joie de vivre pour la première fois de toute mon existence. Bref, une belle vie.

Je vous passe la grosse partie de ma vie avec mon "Vampère" car je sais que vous pensez à une ambiance du genre "cul cul la praline" à quelque détail près, à savoir que j'étais coupée du monde extérieur à la fois à cause de la sensibilité au soleil d'Octavio, mais aussi à cause de ce qu'on appelle "la chasse aux sorcières" qui faisait énormément de bruit à cette époque. Mais je m'en foutais de tout ça car j'étais heureuse dans mon cocon familial. Et la partie "cul cul la praline" vient de la période d'éducation de mon vampaternel en survie, maniement d'arc et d'épée courte, et autres matières qu'on trouve dans des grandes écoles comme la littérature ou les sciences par exemple. Bref, une partie trop chiante pour vous en somme.

Ce n'est qu'à l'âge de 21 ans que je quittai la maison car mon Vampère jugeait que j'étais assez grande et prête pour partir seule dans le vaste monde. Même si la maison et mon père adoptif me manqueront, j'étais déterminée à vivre ma vie à travers les contrées. Mais à défaut de diplôme officiel, je décidai de travailler en tant que mercenaire indépendante, le seul métier que je connais qui mêle le travail avec l'aventure malgré le salaire qui est très variable. Et même si je ne gagnai pas assez d'argent pour aller dans une auberge, la chasse et la survie en milieu sauvage me suffisaient amplement. Mais je menais une belle vie malgré ma nouvelle réputation qui a remplacé celle d'enfant de putain, à savoir que j'étais une gamine à cause de mon apparence bizarrement juvénile pour mon âge.

Mais aujourd'hui, je suis une excellente mercenaire à petite influence, voire respectée par ceux qui me connaissent, même si ça implique qu'on me traite encore de gamine alors que j'ai 25 ans. Malgré la concurrence comme un certain Raphaël Doréagan, les affaires marchent plutôt bien. Cependant, lors d'une de mes dernières missions où je devais affronter un ours enragé qui causait problème aux voyageurs, au moment où je combattais cet animal, quelque chose d'inhabituelle m'arrivait : un vent qui venait de sous mes pieds me faisait un grand bond pour au final avoir le nez collé au sommet d'un arbre. Bien que malgré tout ça, je finissais ma mission avec succès, je pensais au départ que cette magie venait d'un mage mal intentionné. Cependant, alors que je songeais à la possibilité que ce bond venait de moi, j'ai réussi à reproduire ça avec une faible réussite sur la direction de ce bond en plus d'invoquer une petite brise sans l'aide de personne, concluant que je pouvais utiliser de la magie. Au départ quelqu'un qui ne souhaite pas toucher à ce terrain risqué qu'est la magie, cette découverte me donnait envie d'en apprendre un peu plus sur cet étrange don et de pouvoir la maîtriser pour l'utiliser sans avoir de problème avec la garde edalienne. Depuis, je me décidais à partir vers le seul endroit possible où je peux maîtriser mon pouvoir : la académie de magie d'Edälia.

Une fois arrivée dans cet endroit, je faisais la connaissance de Shitenno Bachiatari, le directeur adjoint le plus bizarre du monde, et j'ai dû apprendre que cet établissement était mobilisé pour régler le problème de pandémie qui a causé plusieurs victimes ces derniers temps, dont Myrdinn, le directeur de l'académie actuellement entre la vie et la mort. Par pure désir de faire mes preuves auprès de l'académie en plus de faire mon job de mercenaire, j'étais prête à les aider, me retrouvant dans une situation où je devais faire équipe avec des gens très particulier et à collaborer avec un de mes plus gros concurrents : Raphaël Doréagan.

Je sens que l'avenir va encore me réserver d'autres surprises avec toutes ces histoire...


Caractéristiques et compétences


Classe : […]


Niveau : […]


Caractéristiques et compétences : […]

  • Communication : […]
    • Compétence focus : […]

  • Constitution : […]
    • Compétence focus : […]

  • Dextérité : 4
    • Compétence focus : […]

  • Force : 2
    • Compétence focus : […]
  • Magie : […]
    • Compétence focus : […]

  • Perception : […]
    • Compétence focus : […]

  • Ruse : […]
    • Compétence focus : […]

  • Volonté : […]
    • Compétence focus : […]


Talents :
  • [...] - Niveau
  • [...] - Niveau
  • [...] - Niveau
  • [...] - Niveau


Inventaire de base :
Objets :
  • [...]
  • [...]


Armes :
  • [...]
  • [...]



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